Zingari

Dans l’esprit « gens du voyage » dans les années 30, nous sommes immergés dans un campement de tziganes circassiens où on prépare, comme chaque jour le spectacle du soir et ce, durant les quelques heures qui précèdent le lever de rideau…

D’une histoire d’amour interdite, s’enchainent tension, jalousie, conflit, quiproquos… et règlement de comptes… mais traité avec humour !

Des personnages bien trempés, avec des femmes de caractères, un coureur de jupons… des moments de tension, mais beaucoup de tendresse, de légèreté et de joie ponctuent ce spectacle. La musique Klezmer porte et transporte toutes ces énergies.

A la fin du ballet, tous les artistes se préparent à vue. Maquillage…habillage… et les voilà en tenue d’artiste de cirque : acrobates, clowns, jongleurs … le spectacle va commencer pour eux…